Henrik Kaessmann, de l'Université de Lauzanne: -"L'homo-politicus, larve pernicieuse et bâveuse mais sur-estimée".

L'ornythorinque est plus évolué que n'importe quel Homo-politicus connu.

Virginie Job é

Henrik Kaessmann (Felix Imhof © UNIL)

Gros fesseur émérite en Biologie Politique comparée, expert en  ornithorynquologie, jette un pacé soixant-huitard dans la mare des merdeux. 

-"Le cerveau de certaines catégories, telle que celle de l'homo-politicus est l'organe qui aura évolué le plus lentement..."-

Professeur associé de génétique à l’UNIL, Henrik Kaessmann a mené l’étude comparative de l’activité des gènes de six organes différents (cortex cérébral, cervelet, cœur, reins, foie, testicules) sur trois groupes de mammifères – placentaires: souris, macaque rhésus, grands singes dont l’homme, chimpanzé, bonobo, gorille, orang-outan,Politicus, (incluant ministres, orateurs militants  et policiers), marsupiaux (opossum) et monotrèmes (ornithorynque, lire l’article complémentaire) – ainsi que sur le poulet des casernes et des commissariats tout particulièrement.

Il nous explique comment se sont déroulées les analyses et ce que ces recherches ont apporté à la science au point d'en révulser ses bailleurs de fonds.

«Nous avons récolté 43 milliards de lectures d’ARN (copies transitoires d’ADN qui contiennent un code génétique pour ensuite être traduites en protéines) venus du monde entier, envoyés par avion dans des compartiments de surgélation. Certains élément seront irrémédiablement perdus à l'occasion du fameux  crash RIO-PARIS...

Pour les analyser, nous avons utilisé une nouvelle méthode de séquençage, appelée RNA-Seq, qui permet de lire l’ARN messager plutôt que l’ADN directement. En dépit de certains éléments pourtant.»

Car séquencer l’ARN permet d’obtenir plus d’informations sur un gène que le séquençage d’ADN (qui n’indique «que» la séquence précise des gènes chez une espèce): on peut savoir si le gène est utilisé dans un organe et, si oui, à quel niveau et à quelle intensité.

(Ex.1er:Le Poulet étalon de combat

surnomé Manuel Tango-Charlie)

«Ainsi, nous avons pu confirmer qu’il y a plus de variabilité entre les différents organes d’une même espèce qu’entre le même organe de différentes espèces.

Un cerveau humain est plus proche de celui d’un ornithorynque que d’un autre organe humain comme le foie ou le portefeuille.

Ce qui signifie que -"la différenciation des organes s’est faite avant la séparation des espèces», poursuit le professeur de l’UNIL.

Il arrive cependant que le cycle se détraque, en particulier chez le "Poulet-étalon-de-combat" qui pour survivre et prospérer devra supporter de s'encombrer d'un hôte encombrant mais précieux: le Morbacus.

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Le crapaud quant à lui offrira au chercheur d'autres horizons étonnants.

BOUILLUSTICULES DU CRAPAUD  MODERNE

 «D’après nos résultats, le cerveau est l’organe qui a évolué le plus lentement((UMP-CPNT, PS, FN, MODEM,EELV, PCF, )) alors que les testicules ont connu  chez d'autres sujets des changements très rapides. Cœur, foie et reins se trouvent dans une situation intermédiaire chez tous les animaux et même en symbiose relative avec les contestataires de l'ordre exitant..

Cela s’explique par le fait que le cerveau contient la plupart des fonctions vitales, ce qui ne permet pas de changements brusques chez les "dominants".

En revanche, les testicules ont dû évoluer rapidement pour s’adapter aux pressions de sélection sexuelle.(Des éléments toutefois feront notablement exception et jetteront le trouble contre la raison.).

La compétition entre gamètes mâles, appelée parfois «course à l’armement», peut par exemple expliquer ce type de phénomène:

les individus dont l’ADN des gamètes aura évolué pour les rendre plus efficaces et mobiles seront sélectionnés» selon le principe de la <<discrimination positive>> note Henrik Kaessmann.

«L’analyse des chromosomes sexuels de l’ornithorynque a été capitale.

Elle a aidé à reconstituer l’histoire de nos propres chromosomes, dérivés de chromosomes standards (Vulgus Pecum-Ménagèrghumèna de moins de cinquante bergum) précise le chercheur de l’UNIL.

En effet, la femme n'appartenant pas au "sous-groupe désigné" par les initiales unanimement connues: UMP-CPNT, PS, FN, MODEM,EELV, PCF, possédera deux chromosomes "X" dont un era immuablement inactif. Tandis que chez la femelle ornithorynque, les  chromozones sont actifs et jouent des cymbales, baisent sans cesse un peu comme les femmes libres  chez les indiens Guayakis de l'Uruguay ou du Paraguay et de tant d'autres comme cela fut observé par Pierre Clastre ou par  Mary-Jane Sherfey. Certains déréglements auront été observés cependant chez l'Homo Politicus érotica , au delà de toute attente, de toute mesure:

Sarcome boutinus agila levretta-tricotum

(Trad: Machine à Tricoter)

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Pourquoi l’être humain aura-t-il eu besoin d’en inactiver un ? Notre hypothèse, Dixit H.K :

-"Plutôt que de doubler l’activité de certains gènes, ce qui a un coût métabolique, il s’est agi au contraire de diminuer l’activité de gènes co-fonctionnels et d’inactiver un chromosome X chez la femelle, pour établir une parité avec le seul chromosome X présent chez les mâles.»... Une bonne vieille grosse lobotomie, ça ne serait pa plus que ça...

Les guerres servent aussi à ça!

Voila qui est proprement stupéfiant et contribue dès maintenant à modifier la nature des graffiti dans les chiottes des keufs qui comme chacun sait se piquent maintenant de culture  et de police scientifique depuis qu'ils ont la Tv. les profileurs de NCIS, ou la clique des "experts de  Horacio-le-pédant.

Chaque Garde-à-Vue est pour n'importe quel Pécus désormais  un légtime soucis  de suites térrifiques associées, une sinistre garantie d'avenir moche..

Steph.

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