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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 13:56

 

LE SAUVAGE ET LE PRÉHISTORIQUE, MIROIR DE L'HOMME OCCIDENTAL
09/11/2011
CONFÉRENCE AU MUSÉE à 21 h
Mercredi 9 novembre à 21 h

Conférence de Marylène PATOU-MATHIS
Directrice de recherches au Cnrs et responsable de l’unité d’archéozoologie du laboratoire de Préhistoire du Muséum national d'histoire naturelle.

Vu d'Occident, l'Autre a deux visages : le Sauvage - l'Autre dans l'espace - et le Préhistorique - l'Autre dans le temps.
Comment ces " imaginaires cousins ", qui se sont rejoints et superposés au XIXe siècle, se sont forgés dans les cercles érudits à partir des récits de voyageurs et des théories scientifiques, puis diffusés dans les milieux populaires grâce aux magazines illustrés, aux romans, aux expositions universelles ou coloniales et aux musées. Avec toujours en contrepoint l'Homme occidental, à la fois fasciné et rempli de préjugés.
Pourquoi l'altérité et l'existence d'une humanité plurielle, qu'elle soit passée ou présente, sont-elles toujours si difficiles à accepter ? C'est à cette question que Marylène Patou-Mathis tente de répondre.

© Dessin de couverture du livre paru aux éditions Odile Jacob (2011)





 

Assurément un bel Essais  d'assaut de M P-M

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16 juillet 2011 6 16 /07 /juillet /2011 20:03

Stephane Mercurio, amie des nosotros, vous ouvre les salles abscures....

http://a8.sphotos.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-snc4/73130_1613811419710_1069049711_1704917_5625713_n.jpg

 

 

 

-Steph.K-

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26 juin 2011 7 26 /06 /juin /2011 09:41

 

 

Jaubert Sponte

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18 juin 2011 6 18 /06 /juin /2011 18:27

??? Pourquoi ce compte rendu dans un blog tel que le tien ?...

me demande notre amie Éva...
 
Bonne question...Le mieux est donc d'y répondre.

Bjr Chère Eva,

 
Ne pas lâcher le guidon...


Navré que cela ait pu prêter à confusion...Moi, j'ai surtout voulu/tenté de publier une marrade sur le dit compte-vomis...à partir d'un "fait" nous causant de la procédure DSK..

 

Un truc visant à entretenir la foutue odeur de foutre dont désormais on parfume tout au moment où singulièrement le puritanisme religieux fait son grand retour, au moment même où les femmes sont de plus en plus opprimées ou instrumentalisées au nom de leur protection...Le voile/burqa/nikab,, etc. Il est de notoriété publique que si nos déconnocrates  ont lancé des trouffions en Afghanistan, c'est pour permettre aux fillettes d'aller à l'école, lire la bible et aux femmes de se vêtir chez Dior ,Guerlain en  Galliano.

Pour tout dire et sans pouvoir être toutefois en "sympathie quelconque" avec le DSK, et encore moins en "empathie" au prétexte que le DSK serait "victime d'un odieux complot ourdi par..." c'est tout de même assurément la théorie d' un sacré  coup fourré-foireux et tordu qui selon moi s'impose et rien d'autre, ou presque.

 

Les dernières ranceries rendues publiques par le proc' ne visent à rien d'autre qu'à maintenir la pression dans les burnes de l'immonde monde et aussi dans celles de ses électeurs à lui, jusqu'à ce qu'il soit possible d'en faire gicler quelque chose d'utile le moment venu...


Déjà le Congrès ricain vient de se perdre un "démocrate" qui  trouvait malin d'exhiber ses velus roustons sur internet.

Areva se voit subitement vidée de sa VRP Fukushitée...Ceci sans que nous sachions si oui ou merde il y a au moins une sale et débecquetante histoire de cul entre elle et Sarkoszy comme beaucoup voudraient le laisser ouïr.

Et ceci surtout à la lumière de ce qui s'ensuit sans aucun frein pudique maintenant  avec le bon coup Grec, la bonne Irlande et les petites Portugaises...


Et il n'est pas même question d'évoquer ici le comment fonctionne la "justice" américaine qui ferait marrer Montesquieu, Hegel, et même Super-Dupond...

 De par le fait il y aurait là-dessous dans un premier temps deux victimes et non pas UNE comme on nous le serine dans le dégueulis médiatique manichéen "lui ou elle": mais bien dans la même charrette Nafisatou et Dominique-LouisXIV...bien sûr...Donc, si je compte bien: DEUX !
Et puis, tout de suite après et alignés dans la même mire  tous ces pays qui peut-être auraient gagné "un tout petit peu de temps" face à la charge sauvage d'une saignée opérée par un nouvel étalon du FMI durci.

Le Dominique prisant fort et notoirement les soubrettes et autres petits personnels , connu comme coutumier des plaisirs tarifés et un peu lestes aurait été piégé comme un vulgaire tocard  dans le genre, convaincu qu'il était qu'on ne viendrait pas lui cassez les burnes sur ces foucades qui faisaient de lui un "good french fucker" comme d'autres nous vendent de "bons produits du terroir qui ont du talent", des bites à la mode Caen, ou du Cassoulet:

-" Allo Domi, avant le déconnage de ton gros avion pour Paris,  on t'envoie une soubrette à soumettre, elle est déjà payée, t'as plus qu'à de la ramoner
- beuarkkkk- son jeu est de feindre te résister, le tien de feindre la violer. Bonne dégustation. N'oublie pas le pourboire! "

DSK-torze , émoustillé n'hésite donc pas à sortir nu de dessous sa douche alors que d'ordinaire,  comme toi et moi il en sort tout habillé, y compris de sa baignoire, de sa piscine sur les toits, de l'océan pacifique lorsqu'il y est et de se précipiter supposément le marteau de Vulcain prêt à saillir à la main.Il ne voit donc pas le poison, Nafissatou non plus.

Plus elle résiste plus il y croit, plus il y croit, plus elle résiste.....
DSK est aux anges, Nafissatou aux enfers.
_____________________

Les pays pauvres bientôt se prendront

-avons-nous vu

 quelques sévères baffes dépourvues de tout ménagement

 au passage du racket monétaire

 "Mais cette fois: sans la pilule DSK qui adoucit les mœurs de  l'austérité"


Donc," il "  ne sait pas que même Nafissatou, réelle femme de chambre non moins supposée depuis que des papparazzis se seraient rendus en Guinée, au Mali, au Burkina, avons-nous "appris" un peu tristement amusés comme à l'occasion d'une très mauvaise reconstitution de série "B"  ne sait pas le rôle qu'elle aura réellement et à son corps défendant dans cette série à "deux nouilles" encore plus vulgaire que celle dite " Dallas et son univers impitoyable" concoctée par quelques salopards dont la cervelle et bourrée d'un bulbe de petites culottes et de beaucoup de bitologie.

Je suis donc assez surpris que mon billet ait été autrement lu....Mais je te remercie de m'avoir au passage signalé une confusion possible.

D'ailleurs ça me permet d'y apporter ces quelques précisions de nature à lever toute espèce d'ambiguïté alambiquée, ce me semble.

Bien des bises à toi...

Steph.K

--
http://nosotros.incontrolados.over-blog.com

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 09:38

 

[Jeffrey St. Clair - Voltaire - 16/02/2011]

La communauté internationale a condamné avec force les pirates-pêcheurs somaliens et leur a déclaré la guerre, tout en dissimulant derrière un voile de discrétion les opérations des flottes qui se consacrent à la pêche illégale non déclarée et non réglementée. Ces flottes en provenance du monde entier pratiquent la pêche furtive et déchargent des déchets toxiques dans les eaux somaliennes depuis la chute du gouvernement de ce pays, il y a dix-huit ans. Lorsque le gouvernement somalien s’effondra, en 1991, les intérêts étrangers saisirent l’occasion pour entreprendre le pillage des richesses alimentaires marines de la nation et faire de ses eaux échappant à toute surveillance la décharge des déchets nucléaires et toxiques.

Selon le Groupe de travail en haute mer (HSTF, sigle en anglais), en 2005, plus de huit cent bateaux de pêche [IUU] opéraient dans les eaux somaliennes, tirant profit de l’incapacité dans laquelle se trouvait le pays de surveiller ses eaux et ses zones de pêche. Les bateaux IUU puisent chaque année dans les eaux somaliennes des fruits de mer et des poissons pour une valeur globale de 450 millions de dollars : ils privent ainsi la population somalienne, l’une des plus pauvres du monde, d’une source inestimable de protéines et ruinent les pêcheurs, privés de leur gagne-pain.

Dès le début des années 90, on enregistrait des réclamations concernant le largage de déchets toxiques et la pêche illégale, mais il a fallu que le tsunami dévaste le pays, en 2004, pour qu’apparaissent les pièces à conviction [1]. Le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) a signalé que le tsunami a poussé des conteneurs oxydés, pleins de déchets toxiques, jusqu’aux terres du Puntland, dans le nord de la Somalie.

Nick Nuttall, porte-parole du PNUE, a déclaré à la chaîne arabe Al Jazeera que lorsque les conteneurs furent éventrés par la force des vagues, on a pu découvrir que des inconnus se livraient à une « activité terrifiante » depuis plus de dix ans. « La Somalie sert de décharge pour les substances dangereuses depuis le début des années 90 et cela s’est prolongé pendant toute la durée de la guerre civile », ajoute-t-il. « Les déchets sont de natures diverses : on y trouve des résidus radioactifs d’uranium, pour l’essentiel, mais aussi du plomb, des métaux lourds comme le cadmium et le mercure, ainsi que des déchets industriels, hospitaliers et chimiques : de tout ! »

Nuttall précise que depuis que les conteneurs ont échoué sur des plages, des centaines d’habitants de la côte sont tombés malades, souffrant d’hémorragies abdominales et buccales et d’infections de la peau, entre autres maladies. « Ce qu’il y a de plus alarmant, ce sont les déchets nucléaires.  Les résidus radioactifs d’uranium menacent les Somaliens de mort et détruisent totalement l’océan », précise-t-il. 

Ahmedou Ould-Abdallah, envoyé de l’ONU pour la Somalie, assure que dans les faits, le pétrole a contribué à la guerre civile qui dure depuis dix-huit ans dans ce pays, car pour décharger leurs déchets, les compagnies paient les ministres du gouvernement et / ou les leaders des milices. « Il n’y a pas de contrôle gouvernemental… et peu de gens respectueux de l’éthique… ils payent des gens haut placés, mais c’est à cause de la fragilité du « gouvernement fédéral transitoire », sans compter que quelques-unes des corporations ne consultent même pas les autorités : elles déchargent leurs déchets et s’en vont. »

En 1992, les pays membres de l’Union européenne et 168 autres nations ont signé la Convention de Bâle, sur le contrôle des mouvements transfrontaliers des déchets dangereux et leur stockage. L’accord interdit le commerce de résidus entre les pays signataires de même qu’aux pays qui n’ont pas signé le document, à moins d’un accord bilatéral négocié. Il interdit de même l’envoi de résidus dangereux dans les zones de guerre.

L’ONU a trahi ses propres principes et fait la sourde oreille aux demandes somaliennes et internationales pour mettre un terme à la dévastation ininterrompue des ressources marines somaliennes et à la décharge de déchets toxiques. Ces violations ont également été ignorées par les autorités maritimes de la région.


Documentaire vidéo sur les déchets nucléaires (uranium) et autres des pays industrialisés jetés en Somalie.

Tel est le contexte dans lequel ont surgi ceux qu’on a appelés les « pirates »

On s’accorde à dire que dans un premier temps, ce sont de simples pêcheurs somaliens qui ont pris leur canot à moteur pour tenter de dissuader les incursions de bateaux qui déchargeaient leurs déchets et pêchaient à la traîne, ou au moins leur faire payer un « impôt ». Ils s’étaient eux-mêmes donnés le titre de « Gardes-côtes volontaires de Somalie »

Un des leaders des pirates, Sugule Ali, a expliqué pour sa part qu’il se proposait de « mettre fin à la pêche illégale et au largage de déchets dans nos eaux…
Nous ne nous considérons pas comme des bandits de la mer. Nous considérons que les bandits, ce sont eux, ceux qui pêchent, déversent des déchets illégalement et portent des armes dans nos eaux nationales. »

Le journaliste britannique Johann Hari a fait remarquer, dans le Huffington Post, que malgré le fait que rien ne justifie la prise d’otages, les pirates bénéficient du soutien écrasant de la population locale, et cela pour une raison. Le site web indépendant somalien Wardher News [2], a mené la meilleure enquête dont nous disposons sur ce que pense le citoyen somalien lambda. 70 % des personnes sondées par ce site « soutiennent énergiquement la piraterie, parce que c’est une manière d’assurer la défense des eaux territoriales du pays ». [3]

Au lieu de prendre des mesures pour protéger la population et les eaux somaliennes contre les infractions internationales, la réponse de l’ONU a été d’approuver des résolutions agressives qui donnent droit aux transgresseurs de faire la guerre aux pirates somaliens, quand elles ne les y encouragent pas.

Les voix des pays exigeant en chœur le durcissement de l’action internationale ont obtenu que des forces navales multinationales et unilatérales se hâtent d’envahir les eaux somaliennes et prennent le contrôle. Le Conseil de sécurité de l’ONU (certains de ses membres pourraient fort bien avoir des motifs cachés pour protéger indirectement leurs flottes de pêches illégales en eaux somaliennes) a approuvé les résolutions 1816, en juin 2008, et 1868, en octobre 2008, qui « invitent les Etats favorables à la sécurité des activités maritimes à participer activement à la lutte contre la piraterie en haute mer, au large de la Somalie, notamment en déployant leurs bateaux de guerre et leur aviation militaire… »

L’OTAN et l’Union européenne ont également donné des ordres en ce sens. La Russie, le Japon, l’Inde, la Malaisie, Égypte et le Yémen se sont joints à la bataille, aux côtés d’un nombre croissant de pays.

Pendant des années, il était demeuré impossible de faire passer des résolutions de l’ONU pour contrôler la piraterie dans les mers du monde, en grande partie parce que les nations membres subodoraient qu’il y allait de leur souveraineté et de leur sécurité. Les pays renâclent à l’idée de céder la surveillance et le contrôle de leurs eaux territoriales. Les résolutions 1816 et 1838 de l’ONU, auxquelles s’opposèrent plusieurs nations d’Afrique occidentale, des Caraïbes et d’Amérique du Sud, ont donc été taillées exclusivement à la mesure de la Somalie, un pays qui n’a pas de représentation assez solide aux Nations unies pour exiger des amendements destinés à protéger sa souveraineté. De la même manière furent ignorées les objections de la société civile somalienne au projet de résolution, qui ne faisait même pas mention de la pêche illégale ni du déversement de déchets.

Hari s’interroge : « Nous attendons-nous à ce que les Somaliens affamés s’installent passivement sur leurs plages ou rament au milieu de nos déchets nucléaires tout en regardant comment nous leur volons leurs poissons pour les déguster dans des restaurants de Londres, de Paris et de Rome ?
Nous n’avons strictement rien fait contre ces délits. Mais quand des pêcheurs rétorquent en interrompant le trafic du couloir maritime par lequel passe 20 % du pétrole du monde, nous poussons des hauts cris contre ce « coup bas ». Si nous entendons réellement combattre la piraterie, commençons par en extirper la racine, c’est-à-dire par poursuivre nos propres délinquants, avant d’envoyer nos canonnières nettoyer le couloir de tout criminel somalien. »

Mise à jour de Mohamed Abshir Waldo (de WardheerNews)

Les crises de piraterie multiple n’ont pas reculé en Somalie depuis mon dernier article « Les deux pirateries en Somalie : pour l’une ignore-t-elle l’autre ? », publié en décembre 2008. [4] La piraterie de la pêche illégale, du dépôt de déchets et du trafic maritime non contrôlé se poursuit de plus belle. Les pêcheurs somaliens réagissent à la pêche furtive étrangère, en provenance de bateaux armés, par une guerre intensifiée contre tout bâtiment empruntant le golfe d’Aden et l’océan Indien

Les gouvernements étrangers, les organisations internationales et les grands médias se sont unis pour diaboliser la Somalie et faire passer ses pêcheurs pour de dangereux assassins qui attaquent par surprise et terrorisent les marins (même si, jusqu’à présent, aucun n’a été blessé). Cette version est de toute évidence manipulée. Les grands médias se montrent infiniment plus discrets quant aux autres formes de piraterie, celles de la pêche illégale, et du largage de déchets.

Les marines de guerre du monde —plus de 40 navires de guerre dont dix asiatiques, arabes et africains, et les autres de nations de l’OTAN et de l’Union européenne— livrent une véritable chasse aux pêcheurs-pirates somaliens et ne se soucient guère de savoir si leurs cibles repérées en eaux somaliennes pratiquent la pêche, tout simplement, ou la piraterie. Les diverses réunions du Groupe international de contact pour la Somalie (ICGS, sigle en anglais) sont continuellement l’occasion de stigmatiser les pêcheurs somaliens et d’inviter ses membres à lancer des expéditions punitives, sans qu’il y soit jamais question des violations commises par leurs propres flottes.

Lors de la réunion anti-piraterie de l’ICGS du Caire, qui s’est tenue le 30 mai 2009, Égypte et l’Italie sont les pays qui ont le plus insisté pour exiger des châtiments sévères contre les pirates-pêcheurs somaliens.
Tandis que ces pays se réunissaient à nouveau à Rome, le 10 juin 2009, la communauté de la ville côtière somalienne de Las Khorey a retenu une barge italienne et deux bateaux égyptiens pleins à craquer de poisson capturé illégalement en eaux somaliennes. La barge acheminait deux énormes réservoirs dont on soupçonne qu’ils contenaient des déchets toxiques ou nucléaires. La communauté de Las Khorey a invité les experts internationaux à venir enquêter sur place, mais n’ont toujours pas reçu de réponse.

Il reste à signaler que la pêche illégale, non déclarée et non réglementée (IUU) ainsi que le déversement de déchets se produisent aussi au large d’autres pays africains, et en particulier la Côte d’Ivoire, autre grande victime du réseau de déchetterie toxique international.
Certains affirment que les actes de piraterie obéissent à la logique du désespoir, et, dans le cas de Somalie, les pirates des uns ne seraient-ils pas les gardes-côtes des autres ?


Voir ce documentaire (en langue anglaise) sur les déchets toxiques jetés en Somalie par le compagnies maritimes italiennes. Deux journalistes de la péninsule enquêtant sur ces trafics dans ce pays africain furent assassinés à Mogadiscio.

Sources :

Project Censored / Red Voltaire.
Traduction : Réseau Voltaire.

Nous remercions le contribution de :
Étudiant chercheur : Christine Wilson
Tuteur : Andre Bailey, EOP Advisor, Sonoma State University.


[1] Al Jazeera English, 11 octobre 2008, “Toxic waste behind Somali piracy”, par Najad Abdullahi.

[2] Voir : http://wardheernews.com/Editorial/e…

[3] Huffington Post, 4 janvier 2009, “You are being lied to about pirates”, par Johann Hari.

[4] WardheerNews, 8 janvier 2009, “The Two Piracies in Somalia : Why the World Ignores the other”, par Mohamed Abshir Waldo.

http://www.voltairenet.org/article167002.html

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6 février 2011 7 06 /02 /février /2011 22:49

http://www.oulala.net/Portail/local/cache-vignettes/L238xH320/gif_200903GoloMendiantsEtOrgueilleux-62741.gif

 

ALBERT COSSERY

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16 septembre 2010 4 16 /09 /septembre /2010 15:40

Dans un monde consumériste, où la seule idéologie présentée comme « viable » reste la surconsommation débridée et outrancière, où le rebut représente près de la moitié de la production et où les déchets sont légions, il est toujours intéressant d’explorer d’autres voies, d’autres possibilités.

 

D’autres voies sont à envisager, à promouvoir, des voies différentes parce que détachées de ce lien de personnification idiot lié à l’objet. « Objet inanimés, avez vous donc une âme ? » : NON ! L’objet n’est qu’un moyen, une extension permettant de faciliter la vie, et rien d’autre ! Ainsi, conserver sans besoin, posséder à outrance, et porter à l’objet une valeur sentimentale nous rend esclave de l’objet et, par extension, esclave d’un monde consumériste !

 

Pire, l’objet, une fois son utilité passée, et même s’il n’est pas conservé jalousement comme une preuve que nous l’avons eu un jour, est jeté, allant grossir les décharges alors que d’autres pourraient avoir le besoin de cet objet.

 

Une voie traitée sur un autre site permet de se servir encore de l’objet, non pas dans une utilité qu’il n’a plus, mais en le transformant de déchet en un épanouissement personnel artistique, dans une démarche proche de celle prônée par Virginia Henderson et que revendiques les auteurs du site (voir le site Terra : http://www.tout-en-recup-recyclage-artistique.com/ ).

 

Nous sommes là dans le cadre terminal de l’objet non utile, objet rendu inutilisable par son usure, par son essence même (emballages, etc…). Mais il est aberrant de constater que, bien souvent, l’objet est jeté, transformé en déchet, alors que son utilité et son fonctionnement reste entiers !

 

Si nous voulons sortir d’un monde de gaspillage, d’individualisme et si nous voulons, aussi, redonner à l’objet sa place, arrêtant ainsi d’en faire notre maître pour lui donner juste une place de moyen, il est aussi nécessaire de repenser notre monde et notre façon de voir ce que nous trainons.

 

Ainsi, et pour éviter de rester dans ce consumérisme, est-il évident que, une fois que l’objet ne nous est plus utile, il peut encore servir à d’autres… Tout comme ce que d’autres ont, et qui ne leur sert plus, peut nous être utile…

 

On pourrait rester dans le système monétaire, imposant une valeur à l’objet, et vendant ce dont nous n’avons plus besoin, pour racheter ce qui nous est utile. C’est, encore là, accepter la société de consommation comme seule voie possible… Mais une autre voie est envisageable, celle qui se rapproche le plus du troc, consistant à échanger un objet contre un autre… pour peu que le but rechercher soit la fin de la surconsommation et de l’exploitation, c’est la gratuité totale, autant dans le geste du don que dans celui du receveur ! Cela impose, bien entendu, pour fonctionner, une autre approche que celle de ce monde, une approche fraternelle, puisque basée, pour que le système perdure, sur un conscience et sur un respect. Si on me donne, je dois, moi aussi être près à en faire autant !

 

C’est le pari fait par un site internet, dans lequel, je précise, je n’ai aucun parti pris, si ce n’est celui d’y être inscrit, et qui met en relation les donneurs et ceux qui recherchent. Ainsi, et totalement gratuitement, pourrez-vous chiner, chercher l’objet dont vous avez besoin et, pour faire vivre ce site, donner, vous aussi, ce dont vous ne vous servez plus…

 

La démarche, totalement débarrassée de toute idée commerciale, est on ne peut plus intéressante, et va totalement dans l’optique de ce que beaucoup pensent ici, je pensais donc qu’il était nécessaire d’en parler et de donner le lien vers ce site, afin non seulement que celui-ci vive, mais aussi que nous ayons tous la possibilité de mettre encore plus en œuvre ce nécessaire détachement de la société de consommation.

 

Voici donc le lien vers ce site, sobrement appelé « Donnons! » :

http://donnons.org/

C’est un premier pas vers autre chose de bien plus gratifiant que ce monde égocentrique qu’on voudrait nous faire accepter…

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 14:01

SPIP

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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 07:56

 

 

 

 

 

 

Et puis ceci, chipé à Jules,

c'est vraiment Ultra Total Terrifique:
http://allainjules.files.wordpress.com/2010/07/gouvernement-sarkozy.jpg?w=500&h=334
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15 juin 2010 2 15 /06 /juin /2010 21:41


Nouvelles giménologiques


Nisse Lätt



Infos

El Sueño Igualitario N°104

(Le Rêve Égalitaire) Bulletin en ligne
http://www.gimenologues.org/spip.php?article183

Groupe International et protagonistes du récit d'Antoine
Nisse Lätt, anarchiste suédois
http://www.gimenologues.org/spip.php?article435

Volontaires suisses dans la colonne Durruti
http://www.gimenologues.org/spip.php?article434

Les giménologues, juin 2010

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