La question évoquée ci-dessous n'est et ne saurait être la seule, comme nous l'avions déjà évoqué précédemment, tout comme nous avons mis en avant des perspectives jusqu'alors dénoncée car supposément échevelées par quelques détracteurs parmi lesquels naturellement beaucoup de sionistes embusqués mais vérifiées depuis en actes sans que nos "habiles" détracteurs ne se soient vus obligés de retirer les sottises qu'ils déversèrent à notre encontre depuis quelques années . Les rares observations à peu près tangibles nous concernant se rapportaient à notre critique de l'Etat jugée
"trop proches des thèses anarchistes" encore bien timorées il y a même peu.
Nous ne les réfuterons pas quand bien même nous considérons que l'anarchisme au XXIeme siecle n'a pas encore trouvé au delà des clivages anciens son expression théorique qualitative et autonome comme avaient tenté d'en esquisser les contours les situationnites
dans leur praxis marxienne et libertaire , une praxis encore à peu près inégalée tant sur le plan théorique et pratique u même les théoriciens qui en dessinèrent les prémisses.
(Nous ne ferons pas ici dans le menu, en citant tel ou tel texte soutenant la pertinence de ce que nous avançons, nous nous contenterons de renvoyer chacun à la lecture de
l' I.S et de ses diverses contributions aux débats de nos temps, et a ses inévitables imperfections, ses enthousiasmes, sa rare témérité, ses échecs aussi.)
Ce qui se trame à Gaza relève de perspectives dépassant de loin les seules questions d'une
"plateforme militaire US" dans la région, d'un soutien européen hérité des exactions perpétrées contre les juifs de tout temps et hors temps et en particulier pendant la seconde guerre mondiale rangeant ces dernières, comme ses acteurs instrumentalisés, en définitive, au rang des exterminateurs et autres arrivisites masqués, lesquels inscrivaient déjà, dès 1948 dans le propos une perspective politique consciente beaucoup plus large et moins innocente. dont les Israêlinens, comme aujourd'hui les Palestiniens, seront les dupes ou encore tout simplement les autres massacrés, dès lors qu'ils ne seront plus, les uns comme les autres, utiles à ce qui est d'emblée fixé.
Laquelle perspective pourra sembler assez peu développée ici par nos sources. En effet, comme à chaque fois,ce sera le point de vue strictement parcellaire et économiste spécialisé qui prétendra emporter le débat en excluant à priori autant de facteurs comme la reproduction "in labo" de tous les conflits sociaux, de la lutte des classes,de l'opposition des "courants de pensée", des débats sur les questions de religion et d'éthique, de philosophie et surtout de la modernité d'une recherche critique exceptionnelle et d'autant plus réprimée que ceux qui l'initièrent durent opter pour l'exil ou vivre les persécutions les plus odieuses,subir de longues peines d'emprisonnement au terme de harcellements divers, d'arrestations brutales.de marginalisation dignes du mac carthisme le plus dur.
Que ceux-ci soient Isrëliens ou Palestiniens.
Certains, des deux côtés, furent assassinés, tout simplement, par leurs propre alliés supposés.
Toutefois, les éléments présents dans la description qui suit cette introduction maladroite laisseront à chacun la possibilité de ne pas tout gober "de facto".
Le nerf de la guerre n'étant Dieu ou même un tas de pierres. Le Hamas n'est pas plus le
"Robin des bois" du moment des Palestiniens
(de Gaza ou même de ceux de la Cijordanie...Qui se demande pourquoi le Hamas- financé et installé à GAZA non seulement par la politique de division soutenue par Israël mais aussi par de puissants lobbies "extérieurs"- s'en branle complètement des Palestiniens de Cisjordanie, et peut-être même de ceux de GAZA, à de rares exceptions près? Hein? Les palestniens de Cisjordanie seraient-il vachement plus laïques que les autres? Hummmm. Nous pouvons en douter.Et le fait que le Hezzbollah y soit - bien que non représenté- perçu comme un "allié contradictoire" en dit assez sur la question en ce qui concerne le partage administratif, teritorial et policier des pouvoirs et du giga marché de dupes sous le joug duquel vivent les populations terrorisées, affamées, ruinées par Israêl et sa politique colonisatrice, sa politique expansionniste et meurtrière) , que ne le furent l'OLP, le FATHA ...ce qui explique entre autre que nous ne pouvons soutenir l'un ou l'autre en aucune façon quand bien même l'un se serait-il réfugié derrière une
"légitimité démocratique attrape-couilles" , ou l'autre derrière une
"légitimité historique" désavouée héritée de la vieille et défunte
OLP...du
"vieux Lion". Au delà du fait même que nous ne soutenons aucune espèce de nationalisme ou même seulement
la plus petite notion débilitante de Nation.
Tenez, les aminches, voila qui me fait songer à une page de
SINE HEBDO de la semaine dernière, à un dessin, pour être précis, rapportant en résumé devant un amas de corps mutilés, les propos avertis mais dubitatifs de deux quidams dont l'un pourrait être Juif et l'autre Arabe, l'observation suivante:
"Nous ne voyons pas la circoncision de la même façon...". Il n'est guère dans nos habitudes d'accorder des satisfécits à qui que ce soit...mais là: on touchera tout de même le châpeau, le béret, le Kipa, le keffied, et même les fesses de ma soeur quttes à te prendre une baigne!
(Moi je ne touche pas les f...de ma soeur! c'est con mais c'est comme ça...) Ben là, je t'assure; tu te chopes les boules! Qui ne saisit pas dans cette ironie cinglante l'a-propos exacerbé du faux débat "muslim/juifs" ne pigera rien jamais à une horreur dépassant ici encore les limites de l'entendement! Le monde, dans son actualité récente n'est pourtant pas avare de l'emploi de tous ces faux semblants!!! Il va sans dire que du côté Israëlien et de sa gauche, tout nous est laissé à penser qu'avec une gauche pareille, nul n'est plus besoin d'avoir ne serait-ce qu'un ennemi de Droite, y compris extême!!! Hoyez la confusion!
Avec une telle gauche, c'est le
LIKOUD qui apparaitrait presque comme réformiste et le
MOSSAD comme une chorale d'eunuques ...
Mais le pompon de la sottise reviendra sans nul doute possible à la gauche européenne définitvement disqualifiée à peu près dans tous les domaines qui seraient les siens...Comme Obama, elle cherche partout son chien, son
"labraniche", son chanoine des latrines!
(A défaut elle n'a pour se contenter que des félons!). La seule chose qui ait sauvé celle-ci d'un anéantissement inégalé
-bien que fortement prévisible à moyen terme- serait peut-être le syndrôme
Xavier Darcos et de ses séïdes, lesquels ayant tellement défrayé les chroniques de l'abjection ces temps derniers qu'il n'est aucun besoin de les nommer ici.
Sinon point de considération ajouterai-je en exclamation sauf peut-être pour l'erzats de pensée définitivement crasse du mari de Arielle Dombasle qui comme thonne aura sans dispute aucune son quota absolu de sardines! (Qui va ensemble s'assemble! nous dit l'adage! Et BHL adore les adages...)
Tout nous laissant à penser que la paupérisation de la gauche, de l'extrême gauche et de "l'ultra-gauche" européenne en seraient arrivées concomitamment respectivement au seuil même de toutes les incompétences, celles bornées par le spectacle de la fausse conscience, nous nous fendons la pêche en constatant que la droite la plus conne du monde est au moins assez ridiculement visible , mais hélas partout!
A l'appui des considérations précédentes nous reproduisons ici un article publié sur Bétapol. Lequel ,s'il reprend dans l'ensemble des thèmes déjà exposés aura enre autres mérites de nous offrir egalement quelques autres sources ét références susceptibles d'être considérées autrement que d'un point de vue strictement anecdotique bien que, comme beaucoup d'autres résoluement parcelaires.
Chers potos, nous vous en souhaitons une lecture riche de quelques pistes...
Bien à vous.
Stephane Kerfanto
De bétapol à vous:
Le premier indice sur l’existence d’un riche gisement gazier offshore au large de la bande de Gaza est fourni par le WashingtonTimes du 27 août 2005. Largement reprises sur les blogs à l’occasion de la nouvelle guerre en Palestine, ces informations du domaine public ne sont pas diffusées par les grands médias. On peut s’en étonner.
Mais une telle manne juste en face de l’étroite bande de terre palestinienne pourrait être un motif de vouloir contrôler, voire annexer, ce petit territoire. Lié au gisement égyptien, les forages devaient transiter par l’Egypte, en tout cas en 2000.
D’après les premiers forages effectués il y a près de 10 ans, les réserves sont conséquentes (entre 35 et 40 milliards de mètres cubes de gaz) et les revenus de son exploitation sont habituellement estimés à 4 milliards de dollars.
La question de la souveraineté sur les gisements gaziers de Gaza est cruciale. D’un point de vue légal, ces réserves appartiennent à la Palestine. Un accord avait été conclu en 1999 entre British Gas et l’autorité palestinenne représentée par Yasser Arafat.
La mort de Yasser Arafat, l’élection du gouvernement du Hamas, ainsi que la débâcle de l’Autorité Palestinienne ont permis à Israël de prendre de facto le contrôle de ces réserves.
British Gas (BG Group) a négocié avec le gouvernement de Tel-Aviv. En revanche, le gouvernement du Hamas n’a pas été consulté en ce qui a trait à la prospection et l’exploitation des gisements gaziers. En 2006, British Gas « était sur le point de signer un accord pour acheminer le gaz en Égypte. » (Times, 28 mai 2007). Selon les reportages, le premier ministre britannique de l’époque, Tony Blair est intervenu pour le compte d’Israël pour faire capoter l’accord avec l’Égypte.
En novembre 2008, le Ministère israélien des Finances et le Ministère chargé des Infrastructures Nationales ont ordonné à Israel Electric Corporation (IEC) d’engager des négociations avec British Gas, pour l’achat de gaz naturel provenant de la concession de BG au large de Gaza. (Globes, 13 novembre 2008). Au même moment, BG se sépare de son directeur pour le Moyen Orient, l’Afrique et l’Asie, étrange coïncidence. Puis, l’accord commercial conclu, le champ est laissé libre aux militaires et Tsahal peut se déchaîner.
Israël a bien ses propres gisements de gaz dans ses eaux territoriales, au large d’Haïfa, mais l’intérêt premier de cette prise de contrôle est de priver les palestiniens d’une ressource économique leur garantissant une autonomie et de sécuriser le terminal d’Ashkelon qui donne accès au pipe line connecté à la Turquie. Une façon de confisquer le gaz palestinien.
Comme toutes les guerres déclenchées par le bloc atlantiste, celle ci est aussi une guerre énergétique, et laisse comprendre que Dieu est soluble dans le gaz.
Sources :
Michel Chossudovsky,
Tim Butcher,
Arthur Neslen sur ISM France
Walid Khadduri pour
Info Palestine Joshua Mitnick pour
Washington Times Israel Valley British Gas
1 Commentaire
Attention hein? On a vu des copygraves avec des bandeaux comme "insoumission"...
Alors nous déposons celui-ci en TAZ/N.I et pour les amiEs du bordel généralisé!....héhéhéhé!
SGDG (Sans Garantie Du Gouvernement)....